Le manoir se dressait, strict, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une structure de cristal et de métal résistait encore au faits : une serre oubliée, mystérieuse arrière un mur de végétation sauvage. https://cruzjeseo.bloggactivo.com/33059311/le-jardin-des-ombrages-statiques