L’étranger errait dans les ruelles du carnaval invariablement, suivant les apparences colorés qui semblaient figés dans un valeur d’oubli hypnotique. Chaque adepte dansait complaisamment, sans jamais s’arrêter, comme s’ils étaient pris dans une noeud temporelle avec lequel personne ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien de siècles ces âmes https://rafaelslyks.thelateblog.com/34327817/les-portraits-oubliés