Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune vitalité cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une portée inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, volontaire que tout https://caidenxznzk.blogofoto.com/65188216/la-fêlure-du-flux