La lumière matinal s’étendait délicatement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la limpidité qui guidait les mouvements. Le macrocosme y vibrait différemment, via les reliefs, les sensations olfactives et les sons ténus du vacarme. Dès les premières heures de la journée, les voyances commençaient à https://franciscozoamx.bloggadores.com/33265755/le-traits-par-dessous-la-pierre