Dans un petit cabinet basé en périphérie de mantes, une acupunctrice pratiquait son art pendant plus de dix années dans une discrétion omnipotente. Les murs en filet précis, l’odeur d’huiles primordiales et le calme constant formaient l’écrin idéal pour tous les séances journalieres. Jusqu’au aurore où, en plantant une aiguille https://lorenzoenuyb.tusblogos.com/34341771/la-la-première-pulsation