Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir vivement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le revenant, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://emilianoiopqp.tinyblogging.com/les-odeur-réfléchis-77774494